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 I think it's not to be.

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Lust


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MessageSujet: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptySam 26 Déc - 21:56


    Catharsis le lui avait dit. Rien de bon ne pouvait ressortir d'une telle relation. Il n'y avait d'ailleurs pas de relation à proprement parler. Elle n'avait rien dit à Catharsis, il l'avait su, en la mordant alors qu'elle le suppliait de mettre fin à ses souffrances. Quatre jours de "jeûne" si l'on peut dire, avaient presque rendu folle la blonde Lust. Elle était revenue de l'extérieur, ce feu en elle, tel que même Ezechkiel n'avait jamais vu, il en avait d'abord ri d'ailleurs. Puis il avait ri jaune en voyant que mauvaise elle ne se tournait pas vers lui mais vers Catharsis mais en fin de compte elle n'avait rien eu, ni d'Ezechkiel, ni de Catharsis et quand leur hôte de marque, Eros, lui avait enfin fait du charme, lui qui était amateur de belles femmes, elle s'était comportée ni plus ni moins comme une Catharsis. Elle l'avait repoussé avec une rare violence pour aller s'enfermer dans son cercueil, en griffer le bois à s'en faire saigner, hurler à rendre l'auditorium fou. Enfin, Dante s'en était mêlé. Il avait littéralement pulvériser son cercueil, insupporté par tout ce vacarme. Il l'avait violentée, l'avait aimée malgré elle, pour la seule fois de toute leur vie et il l'avait laissée là, physiquement apaisée, mentalement torturée, le coeur en berne. Dante n'en dit rien bien sûr, mais alors qu'il bouclait la ceinture de son pantalon, il ressentait un sentiment de plénitude tel qu'il n'en avait plus sentit depuis bien deux siècles. Il avait ce sourire prétentieux qu'on aimait à lui voir sur la figure et sa chemise défaite, pour ce qu'elle provoqua de disputes et de hurlements ne lui laissa qu'un rire moqueur et si fort qu'on se tue face à lui.
    Sur le lit où il l'avait jetée, Lust resta recroquevillée quatre jours sans bouger, les genoux repliés contre ses seins nus. Son visage était fermé mais elle n'en voulait pas à Dante. Il n'avait fait que l'aider bien que ce ne fut pas de la façon qu'elle aurait voulu.
    Plus tard il lui envoya quelques uns des hommes qu'elle aimait le mieux, même Sloth se déplaça en personne ce qui laissait bien présager que c'était un ordre venu d'en haut. Mais elle les renvoya tous, dans le calme cette fois.
    Elle ne pouvait plus guère rester ici, de peur qu'on finisse par violer ses pensées, et par le découvrir lui. Vitaly. C'était lui qui la rendez folle, ou du moins elle se rendait folle pour lui. Ces moment là étaient horriblement éprouvant. Elle se réfrénait, elle ne voulait pas se satisfaire et pourtant le démon la tenaillait de près. Et d'un autre côté, elle mourrait pour le rejoindre à leur habituel lieu de rendrez vous, et elle mourrait pour ne jamais plus le rejoindre. Pourtant elle dut bien sortir. Et sortir fut un premier pas vers lui. De nouveau. Elle savait que ses pas la guidaient droit vers lui. Même si elle prenait les chemins les plus éloignés pour se détourner de lui.

    Elle avait une bien triste mine. Elle s'était résolue, répété mille fois ce qu'elle devait lui dire. Elle le lui dirait mais le coeur n'y serait pas. La croirait-il seulement?
    Elle sent déjà son odeur chaude, cette odeur qu'elle aime et ses mains tremblent par avance, mais pas à cause de son vice envahissant. Elle tremble de devoir lui porter ce coup, elle tremble de l'avoir fuit trop longtemps. Elle tremble, de vouloir poser son regard contre le sien, la seule étreinte qu'elle osera encore se permettre avec lui.
    Elle approche, se laisse voir, mais laisse entre bien deux mètres de distance. Mais elle ne veut pas parler la première, redoutant ce qu'elle a dire. Et parce qu'elle veut encore entendre sa voix.




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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMar 29 Déc - 21:41




    Il l'attendait. Le premier jour, il n'avait rien dit, il s'était tu et avait laissé coulé. Peut être était-elle retenue, blessée? Après tout, lui même avait du s'absenter quelques jours. Il resta là, et attendait, sur ce tronc. Au deuxième jour, Kirill vint à lui ne le voyant pas revenir à l'aube – comme il avait été décidé par le vieux concile. Vitaly était là, assis sur le tronc d'arbre tant aimé, tant connu, et derrière la lourde veste noire, Vitaly attendait. Kirill posa sa main sur son épaule et soupira doucement. Vitaly s'en dégagea aussitôt, les yeux qui fuyaient le regard ambre et bleu de son cousin islandais.

    « 'Taly, elle reviendra. Ce n'est qu'une question de temps. » Vitaly renifla et se prostra, visiblement vexé. « Au pire des cas, dans cinq lunes, va la chercher. Si tel est le cas, avertit moi. Je t'accompagnerais. »
    « Je ne veux pas aller la chercher. »
    « Pourquoi? » Kirill arqua un sourcil, étonné.
    « … Je... Je veux qu'elle revienne. »
    « Je sais. »
    « … d'elle même. Si elle ne revient pas et que je vais la chercher, j'ai peur que... qu'elle me rejette. Qu'elle me dise que c'est de sa propre volonté qu'elle n'est pas venue. » Il souffre comme il parle, et ses yeux se perdent.
    « Il ne faut pas perdre espoir. »

    Kirill se pencha et enlaça son cousin dans ses bras, mais Vitaly ne bougea pas. Il restait, là. Kirill le relâcha et ébouriffa les cheveux de son cousin, bien plus jeune que lui, avec un sourire calme et attendri. Kirill avait eut sa princesse. Vitaly attendait la sienne. Qu'elle soit une vampire, cela ne pouvait gêner que Wolff, ce rageux qui ne pensait qu'à la guerre et à la haine des vampires. Kirill comprenait ce sentiment d'abandon le plus totale, de douleur la plus profonde, quand la personne que l'on aimait n'était pas là. C'est après avoir passer une journée entière à ses côtés – oubliant presque qu'Ella l'attendait (alors que mademoiselle parlait avec les jumelles) – il attendait lui aussi cet ange blond, non pas pour qu'elle le fascine, mais pour maintenir la tête de Vitaly haute, pour ne pas qu'il tombe. Si Vitaly tombait, le monde ne tournerait plus jamais rond, lui l'âme la plus pure qu'il avait connu. Ça aurait été ridicule. Quand le crépuscule sonna, Kirill se leva et disparu dans la pénombre, en s'excusant. Vitaly comprit. Lui avait déjà sa princesse. Alors le grand loup restât là, et il ne compta pas le jour ni la nuit, restant ici, droit et impassible. Son regard était fatigué, rougis, mais il restait là. Plus le temps passait, plus l'espoir de la revoir mourrait.
    Puis au petit soir, elle arriva. Il ne sait pas comment il le su avant qu'elle n'arrive, mais il se redressa. La nature le lui disait, le lui criait. Elle acclamait enfin l'arrivée de la belle, sachant dès lors qu'elle n'était pas de ses êtres dégueulasses qui rendent le sol gorgé de sang. Il attendait, comme un animal trépigne de revoir sa maîtresse disparue depuis plusieurs heures, plusieurs jours. Cette excitation faisait accélérée le sang dans ses veines, et pour la première fois de sa vie d'adulte, il était plus nerveux qu'une puce, lui le très-calme. Mais toute cette excitation retomba lourdement. D'un coup. Elle n'avait pas l'air heureuse. Pourquoi? C'était donc... ça? Il la regarda, et son visage tomba. Littéralement. Il fait un pas vers elle, il sent son être entier vibré.

    « Pourquoi tu....? »

    La question meurt sur ses lèvres. Il ne peut pas dire plus, pas aller plus loin. Son coeur éclate.

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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMer 30 Déc - 3:13


    Elle vit la joie sur son visage à l'instant où il l'a vit et également comme par un seul vrai regard elle avait tué cette joie. La mort ne faisait pas pousser les fleurs, elle les faisait se déssecher dans sa main comme Lust faisait faner le sourire de Vitaly. A le voir ainsi, elle sentit son coeur se déchirer, elle sentait à quel point elle avait déjà touché, en mal.

    Vitaly - « Pourquoi tu....? »
    Lust - Je... je voulais ne plus jamais te revoir.', sa voix s'étrangle dans sa gorge comme si elle allait pleurer mais elle en est incapable, elle serre les poings à se faire mal, elle ne doit pas s'arrêter. D'une traite, c'était ce qu'elle avait voulu,' Je me suis attachée à toi plus que de raison, je t'ai attaché à moi et ça je n'aurais jamais du. Je n'en avais pas le droit. Vitaly, toi qui est la vie et qui l'aime, n'embrasse pas la mort dans tes bras, même si elle t'aime. Elle n'a rien à t'offrir. Rien que des larmes, des trahisons, des infidélités. Rien que tu mérites. Je voulais t'avoir quitté pour toujours tu entends. Même à cette entreprise je n'ai rien trouvé en moi qui fut suffisamment masochiste pour m'y tenir, j'aurais été assez folle pour aller te chercher dans les bras de ma mort. Mais s'il te plait. Il faut que tu le refuses, pour toi.

    Cette nuit là c'est elle qui parlerait beaucoup. Elle le savait. Mais elle tremblait, elle aurait voulu débiter des paroles sans être vraiment là devant lui, livide, froide, la mort dans l'âme. Elle n'arrivait pas à le quitter. Elle n'arrivait pas à le laisser, mais elle pouvait le convaincre de le faire pour elle. Elle pouvait lui dire toutes ses choses qui lui feraient honte, et qui sèmerait le dégoût d'elle en lui. Parce qu'elle l'aimait elle le ferait. Parce qu'il lui était plus précieux que le reste.

    Lust - Regarde. Mes mains tremblent comme celles des lâches. Je ne suis rien de plus qu'une lâche. Je ne puis rien te donner que du déshonneur ou que la mort et ce serait malgré moi. Je ne veux pas qu'il t'atteigne à travers moi, Dante, mon père. Mais s'il n'y avait que cela. Tu as dit que j'avais l'air d'un ange, alors je suis une voleuse, et une menteuse. Je n'ai rien d'un ange. Mes mains sont sales, ma bouche aussi, ma bouche qui t'embrassait. Mon corps est sale. Il voudrait t'être fidèle crois moi, je le voudrais mais ça ne sera pas. Tant que je te quitterai tremblante, rendu à moitié folle par le simple fait d'avoir sentie ton odeur, de t'avoir touché... Je voudrais que tu ne m'en veuilles pas pour cela. Je te le demande. Ce n'est qu'une maladie, une honte j'en conviens, j'en rougis devant toi, mais pas devant les autres.

    Elle le lui avouait. Pourtant elle ne disait pas comme elle avait été fidèle ces dernières semaines. Comme n'avait gouté de plaisir qu'en solitaire et non dans les bras d'un autre sauf pour ceux de Dante qu'elle avait voulu refuser. Mais il était si fort. Elle était si faible. Si touchée en plein coeur. Elle ne pouvait détacher son regard de lui, son corps tremblait des faits du malaise qu'elle ressentait, comme si elle eut été humaine. Ce qu'elle ressentait pour lui la secouer littéralement à ce point qu'elle sentit quelque chose rouler sur sa joue comme elle se forçait à le quitter. Une larme. L'unique de toute son éternité sans doute. Précieuse. Unique. Cristalline. Elle avait peur. Elle croyait avoir froid. Elle voulait renoncer. Elle voulait se blottir dans sa chaleur. Mais elle ne pouvait pas.

    Lust - Ne reste pas Vitaly. Va-t-en. Va-t-en avant que je ne détruise tout ce bien que tu as en toi. Avant que je ne te fasse du mal, malgré moi. Va-t-en même en sachant que je n'ai pas menti toutes les fois où nous parlions, que je n'ai pas menti quand je disais que tu m'avais changée, quand je t'ai embrassé.

    Va-t-en.


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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMar 5 Jan - 16:48




    couleur ce soir (;

    « Pourquoi tu....? »
    « Je... je voulais ne plus jamais te revoir. » Il sent son âme mourir. Ou est-ce juste son cœur qui rate un battement, d’avoir trop mal tout d’un coup ? Il pâlit affreusement. « Je me suis attachée à toi plus que de raison, je t'ai attaché à moi et ça je n'aurais jamais du. Je n'en avais pas le droit. Vitaly, toi qui est la vie et qui l'aime, n'embrasse pas la mort dans tes bras, même si elle t'aime. Elle n'a rien à t'offrir. Rien que des larmes, des trahisons, des infidélités. Rien que tu mérites. Je voulais t'avoir quitté pour toujours tu entends. Même à cette entreprise je n'ai rien trouvé en moi qui fut suffisamment masochiste pour m'y tenir, j'aurais été assez folle pour aller te chercher dans les bras de ma mort. Mais s'il te plait. Il faut que tu le refuses, pour toi. »
    « Non ! »

    Il s’offusque, regarde paniqué l’expression de la belle. Il resta sur place, mais on voyait bien qu’il n’avait qu’une envie : se jeter sur elle, la serrer dans ses bras, quitte à la briser, pour que jamais elle ne s’en aille. Il l’aimait. Il le savait. Il l’avait déjà dit à Kirill. Il lui avait dit cent fois qu’il aimait cette chevelure, ce regard azur qui la fixait, et dieu sait qu’il en crevait de savoir que peut être, dans quelques secondes, il allait le perdre ce regard là. Non. Il ne pouvait pas. Il n’y survivrait pas. Il sentait déjà la mort venir empesté son âme.

    « Regarde. Mes mains tremblent comme celles des lâches. Je ne suis rien de plus qu'une lâche. Je ne puis rien te donner que du déshonneur ou que la mort et ce serait malgré moi. Je ne veux pas qu'il t'atteigne à travers moi, Dante, mon père. Mais s'il n'y avait que cela. Tu as dit que j'avais l'air d'un ange, alors je suis une voleuse, et une menteuse. Je n'ai rien d'un ange. Mes mains sont sales, ma bouche aussi, ma bouche qui t'embrassait. Mon corps est sale. Il voudrait t'être fidèle crois moi, je le voudrais mais ça ne sera pas. Tant que je te quitterai tremblante, rendu à moitié folle par le simple fait d'avoir sentie ton odeur, de t'avoir touché... Je voudrais que tu ne m'en veuilles pas pour cela. Je te le demande. Ce n'est qu'une maladie, une honte j'en conviens, j'en rougis devant toi, mais pas devant les autres. »
    « Je t’acceptes, maladie ou pas. Je suis malade à imaginer que tu puisses le supporter pour les autres, mais pas pour moi. Pourquoi ? Dis moi, je… je… je ne supporterais pas que tu partes car tu as honte d’être ce que tu es. Je le supporterais pas. Crois moi. Juste… ne me quitte pas. Pas maintenant, pas comme ça. »

    Il tendit sa main. Le silence était à présent trop pesant. Il la voulait, elle, pas une autre. Cette faiblesse cristalline, ou cette fougue peut être ? Son caractère était trop beau, trop séduisant sans doute, pour qu’il ose la laisser partir à nouveau. Non. Il se l’était juré. Tuer des gens, non. Se battre, oui. Toujours. Jusqu’au bout s’il le fallait réellement. C’était elle sa guerre, sa croisade. Faire comprendre à deux cœurs qu’ils sont fait l’un pour l’autre, et qu’il crèverait de ne pouvoir la tenir une fois dans ses bras sans qu’elle ne se volatilise, sans un mot. Qu’elle accepte, qu’elle souffle et rougisse devant lui, il n’en rirait pas, n’en serait pas plus surpris ou méprisant pour cette blonde aux yeux clairs. Il serait tout au plus touché en plein cœur d’avoir à aimer autant un être si mort, lui qui aimait la vie.

    « Ne reste pas Vitaly. Va-t-en. Va-t-en avant que je ne détruise tout ce bien que tu as en toi. Avant que je ne te fasse du mal, malgré moi. Va-t-en même en sachant que je n'ai pas menti toutes les fois où nous parlions, que je n'ai pas menti quand je disais que tu m'avais changée, quand je t'ai embrassé. »

    Il avança et la prit dans ses bras, sans le lui demander, sans attendre de permission. Trop, c’en était trop. Il la serra tendrement contre lui, et s’il rougissait d’agir avec autant d’ardeur non dissimulé, de cette fièvre qui pâmait ses pommettes d’un rouge écarlate, il n’en restait pas moins tendre et aimant, comme l’aurait eut été n’importe quel héros d’anciennes guerres, qui si bas, n’ont maintenant – à présent – que peu de valeur aux yeux des jeunes donzelles. Elles rêvaient de quelques amitiés transformées en amour, quand lui rêvait du vrai amour, celui qu’on rencontre, qu’on sait qu’il est là, mais qu’on n’avoue jamais qu’à la dernière minute, quand il le faut. Sans quoi, l’on le perd.

    « Je peux pas partir. Pas sans toi. C’est… je sais pas. Je suis un lâche. Sans doute. Je t’ai admiré, je t’ai attendu, en silence, sans jamais te chercher. Pardonne moi de n’avoir pas plus la force de partir. » Il se voûte, un instant, ils sont si proches, serrés, que son estomac se tords. « Pardonne moi, mais je ne partirais pas, et je te poursuivrais. A moins que c’est toi – et uniquement toi – qui ne veuille me revoir. Je ne connais la honte, mais mes sentiments ne sont pas plus fait de pitié. Ils sont bien réels, je le sais, et j’aimerais que sur moi tu poses un autre regard. Pas celui apeuré de te montre tel que tu es, Azur, mais… il m’importe peu. J’accepterais tout. Tu entends ? Tout, car tout ne me fait pas peur. Pas si tu es avec moi. »

    Il ne parlait plus trop le grand loup, mais il en avait dit assez pour que son cœur batte violemment dans sa poitrine, et qu’il sert la vampire, de cette force animale dont on l’avait doté, et qui serrait sans doute trop fort, pas assez pour la briser, mais assez pour qu’elle ne s’enfuit pas, et pour qu’il puisse, avec le silence, calmer sa petite frayeur.



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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMer 6 Jan - 2:17


    Chaque mot était une dague qu'elle lui enfonçait dans le coeur, il pâlissait à vue d'oeil mais elle ne faiblissait pas. Elle ne devait pas se couper sinon elle ne saurait jamais comment reprendre. C'était bien assez difficile comme ça. A son "non" elle cilla. C'était catégorique pourtant elle ne voulait toujours pas le lui céder. Pas par plaisir de le torturer ou de le voir souffrir, ça lui était bien assez insupportable. Mais parce qu'elle savait que plus elle restait pire ce serait. Rester avec lui malgré tout c'était le perdre à jamais alors que le quitter c'était savoir que quelque part, loin d'elle, il était en vie et peut-être heureux. Quand il aurait oublié il serait à nouveau heureux. C'était ainsi que marchait les choses. Catharsis le lui avait promis. Et de tous les princes qu'elle connaissait dans sa famille c'était le seul qui avait la langue honnête et chaste de tous mauvais vices.

    Vitaly - « Je t’acceptes, maladie ou pas. Je suis malade à imaginer que tu puisses le supporter pour les autres, mais pas pour moi. Pourquoi ? Dis moi, je… je… je ne supporterais pas que tu partes car tu as honte d’être ce que tu es. Je le supporterais pas. Crois moi. Juste… ne me quitte pas. Pas maintenant, pas comme ça. »
    Lust - Si Vitaly. Maintenant avant qu'il ne soit trop tard. Ne te rends pas malade pour moi, si je rougis devant toi c'est que j'ai plus d'affection que pour aucun autres. Pour les autres je n'ai pas à rougir car je ne les bafoue pas mais toi... toi je ne peux que rougir chaque fois que je t'insulte. Tu l'acceptes maintenant que tu n l'as pas encore vu à la lumière du jour, mais tu en souffriras. Tu en souffriras terriblement.

    Et elle, elle ne l'acceptait pas. Elle acceptait le démon qu'elle était après toutes ces années, parce que Dante l'y avait aidé mais elle n'accepterait jamais d'être la raison de la souffrance de Vitaly ou de sa honte. Elle ne le tolérerait pas. Il tendit la main et elle recula d'un pas, ses yeux azur s'astreignant à ne pas regarder cette main qu'elle était si tentée de prendre par simple désir du contact. Le toucher une fois, vraiment, elle l'aurait voulu. Elle sentait que cette main tendue vers elle briserait tous ses remparts si elle y cédait. Elle n'y cédait donc pas. Elle lui intimait de partir encore, de cette voix presque dure qui n'était pas la sienne et ses mains tremblaient, la trahissant. Mais trop tard. Il franchissait cette ligne entre eux, cette distance qu'ils avaient toujours tenue et la serrait dans ces bras avec plus de tendresse qu'elle n'aurait su concevoir:

    Lust - Non!

    Elle fit un mouvement pour se dégager, au pas un gros mouvement, pas un geste violent mais plus une tentative de petit oiseau apeuré. Son corps de vampire s'emballa, cognant si fort que Vitaly devait le sentir si proches qu'ils étaient. Ses mains tremblaient serrées entre les cors de Vitaly et le sien comme un dernier rempart mais il était beaucoup trop tard, beaucoup trop contre elle et il ne la libérait pas pour la laisser fuir. Son odeur si masculine la troublait de trop. Il la serrait si fort, mais sans lui faire mal, si fort que s'en était malsain pour elle. Son souffle désordonné annonçait déjà qu'elle était irrécupérable et son visage, parti se nicher dans le creux chaud de la gorge de Vitaly pour s'en enivrer encore plus. Ses poings étaient serrés si fort que s'en faisait mal. Elle ne voulait pas, elle ne voulait pas ça. Mais sa peau contre la sienne attisait en elle ce feu honteux dont elle brûlait si souvent. Elle avait une envie furieuse d'embrasser cette gorge, de goûter à cette peau sans y mordre pour être goûtée à son tour. Les tremblements se faisaient de plus en plus violents à mesure qu'elle se refoulait:

    Vitaly - « Je peux pas partir. Pas sans toi. C’est… je sais pas. Je suis un lâche. Sans doute. Je t’ai admiré, je t’ai attendu, en silence, sans jamais te chercher. Pardonne moi de n’avoir pas plus la force de partir. » Il se rapproche encore et elle souffre, elle souffle à sa gorge cette furie qu'elle a en elle et se raidit « Pardonne moi, mais je ne partirais pas, et je te poursuivrais. A moins que c’est toi – et uniquement toi – qui ne veuille me revoir. Je ne connais la honte, mais mes sentiments ne sont pas plus fait de pitié. Ils sont bien réels, je le sais, et j’aimerais que sur moi tu poses un autre regard. Pas celui apeuré de te montre tel que tu es, Azur, mais… il m’importe peu. J’accepterais tout. Tu entends ? Tout, car tout ne me fait pas peur. Pas si tu es avec moi. »

    Elle l'enlace de ses bras traîtres un instant, mais elle serre si fort dans sa frustration. Elle croyait mourir entre ses bras, mourir de ne pouvoir plonger. Mais il la retient malgré tout. Il l'enferme dans ses bras, la contient et elle écoute ses mots. Elle entend, oui elle l'entend. Elle tremble encore, s'agite de quelques soubresauts comme le font les mourants, ce qui n'ont pas été épargnés et qui souffre à l'agonie. Son menton posé sur l'épaule de Vitaly, presque sur la pointe des pieds, son regard dans la nuit derrière lui. Puis son souffle s'apaise très doucement et elle n'ose plus bouger. Il l'a calmée? Il a calmé la crise. Pas l'envie de lui faire l'amour c'est vrai, mais la crise, le pire du moins, et passé. Elle reste là un instant, frissons et enfin se blottit tant qu'elle le peut sans honte. Puis elle le serre avec plus de tendresse. Un instant elle est Azur, sa Azur.

    Lust - ... Tu... tu... qu'est-ce que tu as fait pour que ça passe? Qu'est-ce que tu as fait?', sa voix tremble encore c'est un murmure, mais ses mains embrassent ce visage avec une grâce que les mortels ne connaissent pas,' Non je ne veux pas savoir ne dis rien. Ne dis rien.' et ses lèvres épousent celles du lycan.

    Elle l'embrasse comme jamais elle n'a embrassé personne. Avec toujours ce noeud à l'estomac mais tant d'amour et tant d'honnêteté. Elle n'a pas même baisser les lèvres de son mari de cette façon, il s'en serait choqué. Il aurait dit que c'était la bouche du diable qu'elle avait à sentir son désir non masquer dans ce baiser et sa langue douce caresser la sienne avec tant d'impudeur. Va-t-elle trop loin? Elle a encore peur d'elle même.










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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMer 6 Jan - 20:19




    « Pardonne moi, mais je ne partirais pas, et je te poursuivrais. A moins que c’est toi – et uniquement toi – qui ne veuille me revoir. Je ne connais la honte, mais mes sentiments ne sont pas plus fait de pitié. Ils sont bien réels, je le sais, et j’aimerais que sur moi tu poses un autre regard. Pas celui apeuré de te montre tel que tu es, Azur, mais… il m’importe peu. J’accepterais tout. Tu entends ? Tout, car tout ne me fait pas peur. Pas si tu es avec moi. »

    Elle se raidit contre lui, elle semble si... étrange. Mais il la garde contre lui, l'emprisonne, la tient. Il ne la lâchera pas. Elle s'agite, tremble, et il ferme les yeux... puis plus rien. Elle est bien là, entre ses bras, mais elle le sert avec tendresse. La nature autour s'est apaisée, comme par magie. Il ouvre les yeux, et elle se blottit tendrement contre lui. Un instant, il ignore si elle joue la comédie ou si c'est vrai, mais il lui fait confiance, alors il la déserre un peu, pour la serrer avec une nouvelle douceur qu'on ne lui connaît pas, lui qui semble si hors du temps, si perdu dans ce monde.

    « ... Tu... tu... qu'est-ce que tu as fait pour que ça passe? Qu'est-ce que tu as fait? » Il la regarde, étonné. Il n'a rien fait. Qu'aurait il du faire...? « Non je ne veux pas savoir ne dis rien. Ne dis rien. »

    Il obéit et garde le silence, mais bien vite il sent les lèvres de la belle Azur sur les siennes et ferme les yeux un instant, rendant le baiser avec un sourire qui lui sied bien heureux et satisfait, et il rougit en sentant leurs langues se mêlaient, mais poursuit, avec amour, avec un cœur qui bat dans sa poitrine, fort et rapidement. Oui il l'aime, il le sait, et dieu sait qu'il pourrait la dévorer ce soir. Alors ses mains se posent sur ses hanches, les collent à lui tandis qu'il se voûte, appuyant son visage contre le sien avec cette fougue et cette passion qui n'appartient qu'aux lycanthropes amoureux. Son cœur bat si vite, et son sang file trop vite dans ses veines. Il aimerait la bousculer, mais la forêt rarement offre quelques lits. Qu'importe. Qu'il la garde entre ses mains, comme ça, et peut être que le feu de ses nuits solitaires s'apaisera de lui même. Quoi que. Déjà ses baisers s'égarent et embrassent la gorge blanche et offerte, la langue venant même lécher cette peau, de haut en bas, alors qu'il mordille cette peau, remontant vers son lobe d'oreille, ses mains sur ses hanches se font plus pressantes, sans en être indécentes, et elles caressent ce dos flexible. Il ronronne presque. Presque.



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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyJeu 7 Jan - 16:21


    Ce n'étaient pas les filets du démon qui se refermèrent sur le corps de Vitaly, non plus ceux d'une menteuse ou d'une hypocrite mais pourtant elle hésitait un peu. Elle ne savait plus rien. D'autrefois son envie furieuse lui dictait tout de ce qu'elle avait à faire, s'allonger simplement dans la couche d'un prince bien consentant ou rouler les courbes de son corps comme les vagues de l'océan pour se faire aimer. Tout cela elle pouvait le faire à l'aveuglette simplement parce que la nécessité était l'amante la plus inventive qui fut et parce qu'entre ses cuisses la douleur pressait qu'elle trouve le moyen. Mais là entre ses cuisses nul fouet pour l'obliger au plus vile bassesse, elle sentait bien ce resserrement amoureux qui appelait mais il appelait sans impératif, il ne parlait qu'en cyprine et mélodies inaudibles. Pas de dévorante envie guerrière, pas d'ordre condescendant de son corps à son esprit. Le corps et le coeur ici se parlaient en égal et Lust, ou plutôt Azur, qui avait depuis si longtemps oublié ce que c'était de vouloir par curiosité, par amour. Ce que c'était que ce besoin tendre de sentir son corps fusionné à celui de l'homme qu'elle aimait, de son tire son âme fondre et la matière perdre toute substance. Bien sûr elle avait eu d'autres orgasmes là n'était pas la question, elle n'en avait eu que de charnels d'ailleurs car du temps ou son corps faisait encore l'amour, son amour ne le lui rendait pas si bien qu'un Ezechkiel désintéressé avait pu le faire, ou encore un Dante ou un Greed. Hector pour l'amour qu'il avait eu pour son Azur, n'avait jamais su lui laisser la place d'exister entre ses bras, il n'avait pas non plus su l'aimait comme il le fallait. Elle en pleurait encore parfois, sans les larmes, plus depuis quelques temps d'ailleurs. Alors là, non plus prisonnière mais toujours entre les bras de Vitaly, elle ignorait, elle réapprendrait. Elle avait aussi la crainte de voir son vice fidèle lui revenir et qu'il ne dévore toute once d'amour pour ne laisser au sexe que sa fougue bestiale sans véritable saveur. L'amour est comme un parfum. Il se distille en essences subtiles, l'une qui est la première impression, l'autre l'accord de tête qui persiste quelques heures et enfin le coeur. Le coeur qui est le fond de toute chose et sa seule véritable valeur.
    Elle se rappelait les yeux noirs d'Hector, comme il la maintenait sagement sous lui au début puis comme il avait fini par la répudié, voyant en sa fougue d'amoureuse, vice et perversité. Elle avait peur de cela surtout. Ce regard noir.
    Pourtant comme elle se laissait aller à un baiser qui n'avait rien de chaste ni d'innocent, Vitaly ne semblait pas s'offusquer. Au contraire il la serrait d'un peu plus près, les mains sur ses hanches et il montrait une ardeur dans ses baisers qu'elle n'avait jamais connu. Elle en rougit de se sentir posséder si facilement et si tôt dans leur étreinte. Elle avait connu l'avidité de Greed, dévorante et cela n'avait rien de commun pourtant. Ca lui semblait insignifiant quand elle essayait d'oublier les suppliques de son bas ventre contre lequel elle sentait le corps de Vitaly près de l'embrasser. Pourtant, ils n'avaient rien ôter de leurs vêtements. Comment pouvait-elle alors se sentir si près de lui presque déjà nu entre ses mains? Avait-il le don de la charmer à ce point qu'elle lui fasse l'amour et non la guerre, qu'elle lui abandonne les derniers battements de son coeur et une larme précieuse dans la même nuit? Elle tressaillit en sentant ses lèvres s'égarer sur sa peau et pourtant loin de le rejeter ou de le fuir comme elle aurait du, elle lui offrait sa gorge à la peau laiteuse et douce malgré sa fraîcheur. Elle glissait ses doigts dans ses cheveux avec une fougue qui veut se perdre et tout avoir à la fois. Avec ce désir de lui dire tout ce que les mots ne pouvaient pas. Son souffle trahissait tous ses élans, il était déjà chaud et fort et entrecoupé de soupirs trop longtemps retenus. Des soupirs qui n'appartenaient qu'à son oreille fine. Déjà ses doigts glissaient contre son torse s'attardant d'abord sur sa ceinture pour le délester de sa veste. Ce serait là, n'importe où, cela n'avait aucune importance, que le soleil se lève tout de suite même, ça n'aurait eu aucune importance car dans la passion qu'elle avait de lui, elle ne voyait plus que lui. Vitaly. Tendre et audacieuse à la fois, elle ne cachait rien de ce qu'elle voulait. Elle en oubliait même cette peur du regard noir et du mépris. Non lui ne la méprisait pas. Elle embrassait sa gorge à la veine battante sans jamais y plonger ses crocs. La tentation n'était pas là. Sûrement tous deux s'enfonçaient dans la pénombre des bois. Pas si loin d'eux. Elle sentait le tronc d'un arbre dans son dos qui arrêtait leur danse. Elle le regardait un instant mais ne supportait guère d'être privée de ses lèvres, de même que ses mains auraient bien souffert d'être retenues loin de son torse. Les yeux dans les yeux, elle défaisait un à un les boutons de sa chemise noire, laissant apercevoir entre deux pans de tissus sa peau souple et blanche, le croisé bien cousu de son soutiens gorge avant que leur corps ne s'embrassent à nouveau dans ces baisers impatients. Elle attendait un peu, que la chaleur du lycan, supérieure de loin à celle de tout autre homme, pénètre ses doigts. Pour qu'ils ne fussent pas froids et déplaisants comme la mort, mais juste frais comme un baiser de rosée au matin, avant que tout ne s'embrase. Sans quitter ses lèvres elle glissait ses mains sous le t-shirt, là où la chaleur était intensément agréable et pourtant elle ne le lui retirait pas. Pas encore. Ses joues étaient rougies par l'excitation. Ses lèvres difficilement retenues, si proches de celles du lycan qu'il s'en serait fallut de rien. Le front fiévreusement posé contre le visage de Vitaly, elle essayait de se tempérer un peu, laissant ses mains glisser à même la peau du lycan. Un sourire naissait à ses lèvres mais pas un mauvais sourire, un sourire si jeune, un sourire qui hissait sa belle candeur au dessus des vagues du feu qui les avait tout d'un coup noyés. C'était un sourire un peu espiègle, un peu joueur, enjôleur mais pas calculateur. Un sourire naturel aux lèvres entrouvertes et le souffle qui les caressait avait une chaleur délicieuse, surtout parce qu'elle ne tenait que de son fait à lui. Vitaly.


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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMer 13 Jan - 20:59




    Vitaly avait apprécié du regard les femmes. Il n'avait pourtant jamais goûté à la peau offerte d'une femme, pas comme il goûtait à la gorge blanche et offerte d'Azur. C'était quelque chose de si... si étrange pour lui, que son coeur battait douloureusement dans son buste, prêt à s'en extirper. Il bat comme un fou, et Vitaly ne suit que son instinct quand il s'agit d'embrasser et de mordiller la peau de la belle, quand il passe ses mains autour de sa taille, pour se l'approprier, pour la presser contre lui quand son corps ne demande que l'union de leurs deux peaux, la caresse ou le souffle. Il veut se perdre, il ferme les yeux, dévore cette peau si douce. Oui, elle est fraîche, mais c'est bien ça qui fait toute la différence. Une peau trop chaude peut bien mentir sur son état fièvreux, alors que lui la sent frémir, et il sent ses mains fébriles qui déjà s'attardent sur son torse. Il retire ses mains, un instant, alors que sa veste retombe lourdement sur le sol. Il n'y fait pas attention, ses mains repartant aussitôt sur les hanches de la belle, et ses lèvres sur sa gorge, son visage, brûlant d'un désir trop longtemps contenu. Des semaines qu'il en rêve, des semaines que les draps apprennent le mot patiente. Lui qui a toujours été des plus calmes, le voilà fébrile et fièvreux. Son regard vairons s'éloigne, il regarde sans voir, il parcourt la peau mais s'arrête sur ses doigts qui défaient le chemisier. Il retire un instant ses mains de sur les hanches de la blonde, retirant d'un coup sec son t-shirt, le laissant tomber sur le sol. La forêt est sa mère, elle ne lui en voudra pas. Alors il continue, ses mains se reposent avec une nouvelle douceur sur les hanches de la belle, puis descendent doucement. Il se fait plus entreprenant, mais qu'importe. Il ne l'effraie pas. Il sait qu'ils en ont envie tous les deux. Les joues rougies de la belle, les deux corps qui se cherchent, se trouvent, s'embrassent. Elle fixe, avec ce petit sourire espiègle. Il a un sourire, l'embrasse doucement. Ses mains se glissent sur les cuisses de la belle, la soulevant. Il est si proche d'elle. Il avance, à l'aveuglette, mais au bout de deux pas il s'arrête. Le tronc est déjà dans le dos de la belle et il ne veut pas lui faire mal. Il l'embrasse, à nouveau, plus intensément, alors qu'une main la tient contre contre lui et d'une autre remonte, douce et chaude. Le long de sa hanche, longe sa chute de reins avant d'épouser la galbe d'un sein, petit et ferme, fier aussi. Il l'épouse et le caresse, ses doigts passant en dessous du tissu, tandis que son bassin entame un mouvement lascif et sensuel, qui traduit bien le désir montant du lycanthrope. Il aimerait la dévorer. Sincèrement. « Je t'aime Azur. Tu sais.. Je t'aime. » Sa voix tremble d'une excitation palpable, et sa peau frissonne. Son désir est déjà bien gonflé, aussi il embrasse avec plus de tendresse, plus de passion. Il se fait doux, cherchant à faire durer le plaisir de leurs deux corps.

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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyVen 15 Jan - 0:20


    Il était si bon de se laissait emporter ainsi. Elle le dévorait de baisers, la chair appelant la chair sans doute mais il y avait plus que ça. Elle frissonnait à sentir ses mains sur lui, elle qui était bien loin de son tout premier émoi. Sa peau n'était pas froide, elle était fraîche. Elle n'en avait pas conscience bien sûr mais pourtant, à sa façon elle s'échauffait. C'était ridicule comparer à la chaleur du corps d'une mortelle mais à cet instant elle n'y pensait pas. Il ne la laissait pas penser à ces choses là qu'elle avait pourtant ressassées des nuits entières. Il la dévorait lui aussi, la possédait entièrement sans encore l'avoir tout à fait encore. Leurs corps se parlaient dans cette langue silencieuse et tactile qui n'avait besoin de rien d'autre que de sincérité, et d'amour. Ca il y en avait aussi. Oui elle avait de l'élan, de la passion et de la luxure dans ses baisers, dans ses caresses. On ne la voyait pas innocente quand elle déboutonnait les boutons de sa chemise pour lui, elle connaissait bien le plaisir des yeux aussi, mais elle était sincère. Il laisse tomber sa veste, puis c'est son t-shirt qu'il retire. Cela va vite, comme si leurs corps étaient trop impatients l'un de l'autre. Elle meure entre ses mains, il se fait plus pressant, lui communique sa fièvre et elle, elle le lui rend bien. Elle l'embrasse sur les épaules, sur la bouche, sur les mains qu'importe, ses yeux sont aveugles et ses lèvres se font un guide sûr et intrépide.
    Il la soulève, elle passe les bras autour de son coup, se penche pour refermer encore ses lèvres sur celles brûlantes de Vitaly. Elle respire l'odeur de sa peau, cette odeur qu'elle s'était interdite si patiemment mais si douloureusement. Son bassin épouse parfaitement le corps de son amant pourtant ils n'ont pas encore tout perdu de leurs vêtements. Elle aime la sureté de son bras qui seul suffit à la soulever, elle aime cette autre main qui caresse ses seins. Elle est chaude, elle est prenante. Lust glisse deux doigts aux agrafes de son soutient-gorge qui tombe dans les feuilles, leurs peaux se touchent, se frottent l'une à l'autre avec des élans de désir longs et félins alors qu'elle sent contre le sien le bassin de Vitaly qui la caresse en vagues voluptueuses. Elle le sent entre ses cuisses le désir qui serre, qui appelle qui ne connait rien d'autre que l'urgence et pourtant elle va attendre encore un peu, pour prolonger leur danse. C'est la friction qu'elle veut. C'est la fusion. Il éclipsait tout à ses sens, il n'y avait plus que lui.

    Vitaly - « Je t'aime Azur. Tu sais.. Je t'aime. »

    Ces mots la stoppent immédiatement. Les mains posées sur la nuque de Vitaly se sont immobilisées soudain. Ses prunelles azurées semblent chercher quelque chose du regard sur ce beau visage aux traits doux, sur ses grands yeux vairons qui la regardent. Elle y plonge. On pourrait croire que ce qu'il vient de dire, ce n'était pas ce qu'elle voulait. A la voir on pourrait croire que s'est attiédie à ces quelques mots, quelle a perdue cette humeur coquine qui ne voulait que lui il y a un instant. Mais ce n'est rien de tout cela. C'est que ces mots là, elle ne les a plus entendu depuis... elle ne comptait plus. Un je t'aime, sincère, qui ne dit rien de plus que ces trois mots là. Pas je t'aime pour ce que tu fais pour moi pas je t'aime pour ce corps magnifique ou ces yeux azurs. J'ai ce que tu fais pour moi. Non. Les trois mots de Vitaly n'étaient pas tout cela, ils étaient... les yeux d'Azur, ils étaient profonds et sombres. Ils avaient de la fragilité des eaux noires et froides. Puis ses prunelles s'éclaircirent, elle eut un de ces sourires heureux, plus qu'heureux et dans un rire clair et discret, son visage vint se loger contre la nuque de Vitaly. Comme elle savourait ce moment. Pourtant elle en oubliait de répondre pour l'instant. Elle prenait le visage de Vitaly entre ses mains et l'embrasser d'abord presque timidement, retrouvant sa fougue peu à peu et enfin...

    Lust - Je t'aime aussi Vitaly, mon Vitaly...

    Chastement d'abord leurs lèvres se redécouvre une millième fois. L'attente leur a rendu chaque caresse plus délicieuse, plus intense. Elle sent contre elle qu'il est prêt. Elle l'est aussi. Elle se laisse glisser au sol depuis ses bras. Ses pieds touchent le sol, les feuilles se froissent avec un joli phraser doux. Elle recule de quelques pas, l'attire à elle. Elle a ce sourire de la complicité, du jeu amoureux. Elle s'assoit au sol sans le quitter des yeux, sans lâcher ses mains. Elle veut tellement qu'il la suive, même si quand il la suit effectivement elle recule encore un peu sur ses mains, par jeu. Puis enfin elle l'accueille d'un nouveau baiser, sa main glisse pour se loger dans ses cheveux, suivant la courbe de la nuque du beau lycan. Elle est là en dessous de lui, les seins nus et fermes, elle cherche d'une main douce la boucle de la ceinture de son amant...


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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMar 2 Fév - 1:52





    Le mélange des salives, le simple fait de baiser des lèvres si douces. Vitaly avait goûté au plaisir des chairs, quelques fois seulement, quand la lune le faisait rougir de ces pulsions typiquement masculines. Il avait aimé des femmes, souvent humaines, pour ne pas souiller les louves de sa meute. Il n'avait pas cet habitude qu'est de promettre la lune pour une simple nuit. Ce n'était pas son genre de mentir. Les femmes avec qui il avait perdu ce temps précieux, elles recherchaient la même chose que lui. Au même moment, et au même endroit. Avec Azur pourtant, c'était différent. Cette fougue dans ces lèvres, cette peau froide, si différente de la sienne, si pâle. Cette blondeur naturelle, qui lui rappelait des rayons de soleil, un soleil qu'elle n'avait sans doute plus jamais vu dans sa deuxième vie. Il partageait avec elle cette chaleur, ce toucher délicat, qu'il n'avait jusqu'alors jamais partager par amour, par sentiments. Il n'avait jamais aimé les femmes qu'il avait honoré. Il les avait apprécié, tout au plus. Mais Azur, c'était le sentiment pur, dans tout ce qu'il avait de plus beau, de plus pure, de magnifique. Un sentiment au dessus du sentiment. Plus loin que l'expression grossière des chairs. Celle du coeur.

    « Je t'aime aussi Vitaly, mon Vitaly... »

    Il la fixe, avec un sourire tendre, penche la tête alors qu'il penche un peu la tête, en avant, embrasse les lèvres offertes qui le cherche. C'est un sourire calme qu'il a, un sourire d'amant qui a attendu, et il n'a pas peur d'attendre encore plus. Il la laisse s'échapper, un court instant, alors que d'un geste fluide il la suit vers le sol. Il a envie, il se sent juste... bien. Oui, c'est ça. Ses genoux se frappent sur le sol, remue les feuilles mortes qui s'entassent. Elle l'attire, comme une sirène qui attire un pauvre petit pêcheur, mais voilà, lui il y va de plein grès. Il se laisse faire, avec cette docilité toute canine, il a un sourire doux, penche la tête vers elle. Ce sourire complice qui le met en confiance. Il y réponds. Il est impatient, mais il laisse le temps couler. Elle recule alors il la suit, à quatre pattes sur le sol, avec un petit rire amusé. Dans l'obscurité, l'ombre joue sur la peau du lycan, dévoilant ici et là des muscles sous cette peau rosée, alors que son propre regard se perds sur la pénombre qui dessine des mains sur les seins de la blonde. Il ronronne quasiment quand une main glisse sur sa nuque, quand lui relève doucement les siennes pour les déposer sur son corps, sur sa gorge, d'une main possessive et chaude. C'est qu'un lycan a toujours chaud. Encore plus en pleine nuit. Cette main glisse le long de la gorge, effleurant du bout des doigts le sein ferme de la belle, et descends plus bas encore sur ses reins, jusqu'à caressait le bas ventre du bout des doigts. Il sent aussi les mains de la blonde sur la boucle de sa ceinture, alors d'un même geste, il enlève celle qui ceint la taille de la demoiselle, l'écarte. Seulement sa main ne s'arrête pas là et elle glisse le long de ses cuisses, les attrape avec douceur pour finalement les soulever, un peu, s'approchant un peu plus d'elle. Son nez effleure le sien, caresse cette joue. Le regard est fiévreux. Il a chaud. Ses mains ne savent pas quoi toucher, quoi faire, trop confus, mal ordonné. Il s'arrête finalement, les mains sur ses cuisses, alors qu'il se courbe un peu plus au dessus d'elle, sa langue caressant sa gorge froide, mordillant la peau, alors qu'il descends le long de son cou, s'arrête à cette poitrine offerte, trop charmante. Il l'embrasse, tandis que ses mains remontent sur ses cuisses jusqu'à ses hanches. Il rougit, non par honte, ou pas pudeur, mais par sentiments. Tout simplement.



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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMar 9 Fév - 2:42


    Elle lit sur sa bouche, dans ses regards, sous ses caresses la complicité et l'impatience qu'ils partagent. Il y a entre eux quelque chose d'unique pour elle. Elle qui a connu tant de draps, tant de bras sans jamais connaitre cela. Elle se rappelait sa toute première nuit, celle où elle avait perdu sa virginité, et elle se rappelait la froideur de l'acte, le malaise qu'elle en avait conçu, et la sensation d'avoir vainement perdu quelque chose dans un acte qu'elle avait cru tant vouloir. Pourtant ce que son mari lui avait donné cette nuit là avait été presque dépourvu d'amour tant le sentiment était étouffé par la distance et la gêne. En attendant Vitaly, les mains dans les feuilles qui jonchaient le sol, elle se rappelait cette main un instant sur sa bouche, qui lui assurait qu'une femme ne devait pas prendre de plaisir à ce genre de chose. Qu'importait. Cette nuit là, elle découvrait quelque chose qu'elle n'avait pas même entrevu en rêve.
    Ils jouent ensemble à cette étrange danse, se cherchent. Elle prend plaisir à ce simple jeu. A regarder les ombre jouer sur la peau de son amoureux. Amoureux. Le mot était doux et enfantin presque. Il était tout aussi mutin que leurs caresses.
    Ses mains sur son corps la réchauffe, elle cherche le contact avec cette peau délicieusement fiévreuse, reste indocile mais offerte à la fois. Elle aimait cette façon qu'il avait de la toucher comme pour la posséder. Son sein se blottit, rond et ferme dans la main de Viatly puis c'est son ventre qui se dérobe sous les doigts du lycan qui lui prodiguent mille frisson. Elle le regarde faire tout en défaisant la ceinture sur laquelle ses doigts s'étaient refermé un peu avant. Ses longues jambes cherchent à se dérober ou du moins à suivre le mouvement de la caresse sur ses cuisses, elle s'allonge alors complètement, ses cheveux épart dans l'herbe et les feuilles lui font une couronne de volupté.

    Ses mains à elle refont les mille dessins des muscles du dos qui la surplombe, elles glissent jusqu'en bas des reins de son amant, le caressant avant de glisser ses doigts fins encore un peu plus bas pour le défaire de son jean. Son corps cherche à épouser celui de Vitaly qui est si chaud, si agréable, sans encore précipiter les choses, sans encore presser leur bassin l'un contre l'autre. Elle embrasse sa peau douce, ses lèvres se refermant avec fougue et douceur mêlées tantôt sur sa bouche, ses doigts, ses épaules ou son torse. Ce sont des sourires qu'elle dépose à fleur de sa peau...



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MessageSujet: Re: I think it's not to be.   I think it's not to be. EmptyMar 16 Fév - 3:06





    Il avait faim d'elle et de sa peau. C'était comme un manque. Depuis des semaines, depuis des mois, il en rêvait en silence la nuit, dans son lit, et il rougissait au petit matin de telles pensées. Pas de honte, non, mais il avait cette petite pudeur qu'ont les jeunes âmes. À défaut d'être jeune pour les hommes, il l'était pour les loups. Aussi son toucher est délicat, chaud, tendre, comme celui d'un adolescent qui apprends le corps de sa première petite amie, pour sa première fois. C'est un peu maladroit. Vitaly aussi, il l'ait un peu. C'est dans sa façon. Il a ces mains habiles quand il en ait sûr, mais dans ces moments là, il n'est plus sûr de rien, et elles tremblent d'une excitation légère, qui s'appuie de minutes en minutes. Elle est si belle dans l'herbe, et la nature entière semble avoir suspendu son souffle au rythme effréné du leur. La danse est celle de la volupté, de l'agapé, un amour infini et sans appel. Il aime à donner, aussi il donne quelques baisers. Ses mains épousent la courbe de ses jambes qui s'allongent, et du bout des doigts les remontent, avec ce toucher chaud et doux. Il ronronne doucement quand il sent les doigts de Lust sur son jeans, le déboutonner, et lui souffle sur la peau de la jeune femme, et du bout du nez il caresse cette gorge, l'embrasse avec délice, alors qu'il attrape doucement les cuisses de la demoiselle, l'approchant de lui et de son propre bassin, les deux s'épousant avec amour. Un accord parfait, silencieux, des chairs qui exhalent toute la volupté possible et inimaginable. Il se presse contre elle quand ses mains, trop larges, repoussent le tissu de sa robe et épousent avec perfection la chair, la sert, tout contre lui, et qu'il dévore de ses lèvres la bouche de Lust, qu'il l'embrasse avec avidité et amour. Il l'aime... oui. Vraiment. Il l'aime, et ça se voit dans ses baisers qui feraient rougir n'importe qui. Alors penché sur elle, il presse son corps entier contre le sien, si bien qu'on pourrait croire qu'à se moment ils ne font qu'un. Il est si proche, quand il embrasse chaudement la gorge offerte, soufflant dessus, lui qui semble avoir dépasser les cinquante degrés alors que le corps sous lui est froid comme la glace. Le soleil rencontre ci bas la lune.


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